Pascal Morabito bouleverse les idées reçues et innove en enfermant un diamant dans une cage dorée. Il fait entrer le cristal de synthèse dans la Joaillerie et réussi ainsi à révéler les pierres dans leur troisième dimension. Cela lui vaut une reconnaissance internationale, Le Grand Larousse le cite et le Musée d’Art Moderne de New-York lui ouvre ses portes.

Histoire

Cela fait plus de 40 ans que Pascal Morabito joue sur les formes géométriques pures pour créer des bijoux. Il travaille la transparence et crée le « Diamant libre » en 1970, un diamant élégamment attrapé dans du cristal de synthèse entouré d’arrêtes d’or : l’impression est étonnante, on croirait que le diamant flotte dans sa cage dorée.

Aujourd’hui, sous l’impulsion de son fils Téo et de sa femme Marie-Eve Morabito, photographe, ce talentueux bijoutier revisite sa collection et fait naitre la Silver Vintage collection.

Modèles proposés

Ensemble cette famille réinvente les pièces mythiques et s’amuse avec les matières, les résines et les formats. Observant la transformation des différents métaux ils tentent d’en figer les couleurs. Le bronze fait alors son apparition dans toutes ses nuances d’oxydation. Les pierres semi-précieuses pleines de teintes chaudes et lumineuses, ainsi que l’argent et le vermeil viennent donner, dans des formes parfaites conçues par le designer, une aura accessible à cette nouvelle collection.

Le regard féminin de Marie-Eve vient épanouir encore d’avantage les micro-archictures de Pascal en introduisant des pierres semi-précieuses, des perles et des minéraux. L’œil précis et poétique de Téo, leurs fils ainé, aide à ce que ces bijoux prennent la lumière et animent le manège qu’il a conçu pour présenter l’univers de ce grand bijoutier.